BEAUX LIEUX IMMOBILIER
BEAUX LIEUX IMMOBILIER
BEAUX LIEUX IMMOBILIER

Les tendances du marché lyonnais - la périphérie toujours plus attractive ...avril 2022

Partager sur :

 

Une plus forte demande pour la périphérie lyonnaise. 

Les notaires ont déclaré une progression du prix médian des appartements plus importante dans le Rhône (+9,5%), et également en deuxième couronne de Lyon, que dans la ville centre, où la hausse se fixe à + 5 %. Et sur les extérieurs, on observe ainsi l’installation de plus en plus de lyonnais.

« On a une tendance à sortir de Lyon, et s’éloigner de la Métropole ce qui est vraiment la conséquence de l’impact Covid. On a toujours eu tendance à aller sur l’Ouest rhodanien, à côté de Villefranche/Beaujolais. On a vraiment pas mal d’acquisitions, mais il y a cette année une accentuation sur l’Isère rhodanienne, avec une augmentation de 4,3 points d’acquéreurs qui vont sortir de Lyon pour aller de ce côté de l’Isère. On va être sur les axes SNCF, les accès faciles » déclare Maître Sandrine Jacquemin-Van Gorp. 

L'immobilier neuf en pleine croissance dans la 2ème couronne 

Maître Séverine Girardon, notaire sur Tarare, insiste sur ce phénomène de report qui touche la ville centre de l’Ouest rhodanien, qui est accessible par le TER à 40 minutes du centre de Lyon. 

«J’ai constaté depuis très peu de temps, presque moins de 12 mois, que l’on a un boom que l’on a jamais connu, une création de demande très forte, dans le neuf. Et heureusement, nous avions de l’offre en face… Cela fait 25 ans que j’exerce à Tarare, il n’y avait pas de grues. Là, il y a des grues, elles montent des immeubles, et les logements se vendent. Ce qui est dingue... Dans les programmes sur Tarare, on est autour de 3.000€ le m². On constate que les T2 à 100.00€ se sont arrachés.»

Séverine Girardon

 

« Il y a clairement un report. C’est un des impacts de la difficulté d’avoir des fonciers sur Lyon et la première couronne. Il y a une difficulté d’avoir des terrains, une difficulté d’avoir des permis qui fait que les promoteurs sortent de Lyon et vont vraiment de plus en plus loin, dans des zones où ils n’allaient pas. Il y a un report sur l’Ain, dans des zones pavillonnaires, sur Villefranche, sur le Beaujolais, sur l’Isère. »

Maître Sandrine Jacquemin-Van Gorp